Quel plaisir de voir l’averse de pluie jeudi soir! J’étais tellement contente que j’ai eu envie de mettre mon maillot et d’aller jouer dehors. Mais je n’ai pas osé toute seule. Mon amoureux et notre fille n’ont pas accroché à cette idée et je n’étais pas à l’aise devant les voisins.
J’y pense pour la prochaine fois. Une pluie chaude et forte, j’y vais! J’adore l’effet d’une grosse averse lorsqu’il fait chaud. D’être détrempée, de courir, de rire. J’ai un beau souvenir d’une balade à vélo avec des cousines et des amies. On avait vécu toute une averse! On chantait sous la pluie après un certain temps tant on était euphoriques. On dirait que ça nettoie quand ça arrive. Puis l’air est tellement bon. Frais. J’adore!
C’était chaud depuis plusieurs jours et sans pluie. Les températures extrêmes que nous subissons nous ouvrent les yeux. On voit ce qui nous attend si nos façons de vivre ne changent pas.
Notre planète a besoin de plus de verdure pour s’équilibrer. On ne pourra plus cultiver si la chaleur et la sècheresse augmentent davantage. Il n’y en aura pas d’eau l’été et il fera trop chaud.
Plus les années passent, moins j’ai envie de passer des heures dehors au soleil. J’ai l’impression de cuire. J’y vais à l’aube et je n’ai plus envie d’y retourner ensuite. Passé trente degrés, je n’ai plus de plaisir. J’rêve juste d’être dans un lac ou une piscine. Quand on est entouré de béton, c’est épouvantable. Au centre-ville mercredi, la voiture indiquait qu’il faisait 39 degrés. Imaginez si la planète se réchauffe encore de deux degrés. En haut de trente, c’est dur, j’peux pas m’imaginer survivre en haut de quarante. Pas dehors au soleil. C’est déjà inhumain de travailler toute une journée au soleil. Impossible plus que ça sans ombre.
Une des façons d’arrêter les dégâts est de reverdir la Terre. Si vous avez envie d’embarquer, je suis disponible pour vous conseiller.
Je vous transmets ce que je sais. Et ensemble, à l’échelle des capacités de chacun·e, on sème, on plante, on cultive une diversité de végétaux qui va rafraîchir l’air, améliorer sa qualité et permettre à nos enfants présents et à venir une vie dans une nature équilibrée.
Qui embarque?
L’article Résilience écologique: 4 succès qui frappent l’imaginaire démontre que l’impact peut être grand. La nature est forte et peut se reconstruire. Si on l’aide, les résultats peuvent être rapides.
« À l’instar du développement de jeunes plants sur un sol incendié, la nature a la capacité de se reconstruire après une grave perturbation, telle une inondation ou une pollution industrielle. Mais lorsqu’un lieu ou un habitat peine à renaître, un coup de pouce humain peut faire la différence pour renforcer cette résilience écologique, comme en témoignent les exemples suivants. »
Pour voir les exemples de succès : https://centdegres.ca/ressources/resilience-ecologique-4-succes-qui-frappent-l-imaginaire
Avez-vous envie de verdir la Terre vous aussi? Si vous avez besoin d’aide, faites-moi signe. Posez-moi vos questions, je vais vous donner des réponses.
Villes, villages, citoyen·ne·s, plantons des arbres, des arbustes, des fleurs, des couvre-sols vivants. Participons à l’augmentation de la végétation à notre façon.
